Résumé de la Chine

Ah ! Mon cher voisin du banc de l’école du monde !

Comme ça fait plaisir de te retrouver, alors je continue toujours mon tour du monde, et ça se déroule un peu comme ton année scolaire, ça passe très vite, j’en suis déjà à plus de la moitié. Et là, je suis actuellement au Japon, pour toujours autant de découvertes, mais avant, je dois te parler de ce grand pays qu’est la Chine. Alors mon projet a pris une autre dimension pour cette étape puisque je suis arrivé pour la période du nouvel an chinois. Il me faisait rêver, mais j’ai découvert sa vraie réalité, je t’en parle juste après. Ainsi pendant cette période, toutes les écoles publiques sont en vacances. Mais je te rassure, même en vacances, j’ai pu rencontrer des professeurs et des élèves et en apprendre beaucoup sur leur écoles.

Alors comme d’habitude, je commencerai par les aventures, puis les rencontres et enfin je présenterai un peu leur système des écoles. C’est parti :

 

Quand je suis arrivé à l’aéroport, j’ai eu peur de ne pas m’en sortir puisqu’on m’avait prévenu que les chinois ne parlent pas anglais, et que dès que tu quittes l’aéroport, il est difficile de s’y retrouver dans cette jungle de caractères chinois. Mais très vite, cette peur s’est effacée, puisqu’il y a toujours moyen de se débrouiller, les chinois sont très accueillants et ils prennent le temps d’aider dès qu’ils le peuvent, plusieurs chinois parlant anglais sont venus spontanément m’aider pour me faire comprendre au guichet ou au restaurant, tu écris sur un bout de papiers les caractères de l’adresse ou tu mimes pour leur demander de l’aide, à chaque fois, ils m’ont indiqué le bon endroit. Ainsi, une fois dans le bus qui m’emmenait pour la gare, cette peur s’est transformée en petite déception, en effet, ma première impression de la Chine en traversant Pékin en bus était de me dire que j’étais dans une ville américaine toute de buildings d’acier. Rien de typique si ce ne sont les enseignes des magasins avec les caractères chinois. Arrivé à Qingdao, c’était la même chose.

Mais ça ne m’a pas empêché de passer un bon séjour. En effet, mon séjour, en plus des observations que je t’explique ci-dessous, a été riche de rencontres et d’opportunités que je n’aurais jamais pensées.

N’ayant pas de contact d’hébergement pendant un mois, j’ai retrouvé le couchsurfing (le réseau internet pour proposer, voyager et dormir sur les canapés du monde pour quelques nuits gratuitement, mais surtout rencontrer des personnes riches d’expériences et de voyages). Ainsi mon premier hôte était un italien, parlant français grâce à deux ans au Québec, et chinois puisqu’il est en étude à Qingdao depuis 3 ans pour son master. Le contact étant passé directement, il a très bien réussi son rôle de me faire rentrer dans la culture chinoise. En effet dès le premier soir, il m’a invité à faire de la calligraphie chinoise, chez son voisin chinois. Un moment magique qui m’a montré un art très complexe mais qui donne vraiment envie. Le lendemain, il m’invite fêter l’anniversaire de son meilleur ami chinois. Je découvre ainsi les habitudes, les plats d’un vrai restaurant chinois. (Heureusement que je m’étais entraîné avec les baguettes !)

C’est très simple : une grande table où l’on s’installe autour, les serveurs apportent les plats choisis au fur et mesure sur le grand disque de verre tournant. On le fait tourner, chacun prend ce qui lui plaît avec ses baguettes et mange quasi directement. Une variété de plats impressionnants que même mon ami après 2 ans ici, ne connaissait pas forcément. Des champignons, du tofu, du riz, des aubergines fries, des genres de raviolis plats sucrés, une soupe de poulet, de la viande de porc et de bœuf  en petit morceaux (bien cuisinés à leur façon) et d’autres plats aussi bons les uns que les autres (8-10 plats pour une table de 8 personnes)

Puis, s’en suivait une autre activité très importante pour découvrir la culture chinoise : le Karaoké. Ici, c’est tellement populaire et demandé par les jeunes de 18-30, qu’il y a beaucoup de magasins dans les grandes villes qui proposent ça. Ainsi, pour nous, c’était un hôtel avec des salles privées de luxe à l’étage -1. Une petite salle parmi les dizaines qu’il y avait dans le couloir, avec deux grands écrans géants, deux micros, et des canapés sur la moitié de la salle avec table basse. Plus un tableau de commande pour le choix des chansons karaoké. Le tout avec des lumières disco au plafond pour faire une « super ambiance ». J’y ai découvert les chansons chinoises, beaucoup de chansons d’amour avec des clips en peu enfantin bébête, même si c’est très drôle à découvrir. De plus, les chinois n’hésitaient pas à donner de la voix même si c’était loin d’être juste. On était juste là pour s’éclater. Des chansons japonaises, des chansons américaines, anglaises, waka waka chanté en espagnol par mon ami, que de voyages cet après midi là.

Après avec ce couchsurfeur, on a passé vraiment de bons moments, il m’a fait visiter un peu la ville, conseillé certains coins à aller voir, présenté à d’autres amis (dont un professeur de collège très intéressant), fait découvrir plusieurs plats chinois, proposé plusieurs films, et il m’a surtout aidé à comprendre les bus dans cette ville aux jolis caractères.

J’ai continué mon aventure avec mon deuxième couchsurfeur qui lui était français. Ça faisait deux ans qu’il était installé avec son amie chinoise à Qingdao comme ingénieur dans une usine. Tous les deux, ils m’ont appris aussi beaucoup sur la culture chinoise, notamment le mariage, ils commençaient la paperasse administrative entre les deux pays (et il y a en a), et ils étaient déterminés puisque c’est très compliqué un mariage franco-chinois. Mais ils m’ont aussi raconté le rituel du mariage ; même s’ils aiment beaucoup les longues robes blanches et le costar, ça n’a vraiment rien à voir. C’est une histoire du style : l’homme doit venir chercher l’épouse dans sa chambre, mais avant, il doit négocier avec la famille pour rentrer dans la maison, négocier avec les demoiselles d’honneur avant de monter l’escalier, et négocier et forcer le passage aidé de ses témoins pour rentrer dans la chambre. Un rituel où tout le monde joue le jeu, s’en suit l’échange des bagues, la cérémonie du thé avec les parents, la possibilité de faire l’inverse, l’épouse vient de la même façon chercher l’homme dans sa maison familiale, et le soir le grand repas et la fête.

Avec ce couchsurfeur aussi, je découvrirai la joie des ambiances et du travail d’usine et ingénierie. Ici, la grande règle est « Mă mă hū hū », qui veut dire « cheval cheval, tigre tigre » autrement dit « comme ci, comme ça ». Les ouvriers ont pour habitude de faire leur travail, mais souvent que le travail demandé, et s’ils n’ont pas le matériel pour le faire, ils vont quand même trouver un moyen « approximatif » d’arriver au but. Un choc de culture qui fait travailler la patience de mon ami français et notre rigueur occidentale.

Autrement, je suis encore tombé sur quelqu’un de super, en plus de nos riches partages d’expériences, j’ai aussi découvert grâce à lui le cinéma chinois avec un guichet où tu réserves et choisis la place à laquelle tu veux t’asseoir dans la salle, le décathlon chinois (son amie y travaillait, aussi ici, ça marche très, très bien !), les sushis d’un restaurant japonais avec les assiette sur le tapis roulant, le « zapping » français pour avoir des nouvelles, et pleins de nouvelles séries américaines.

 

J’ai continué ma série de couchsurfing. Après un italien et un français, j’ai eu la chance de rencontrer un américain et son fils de 12 ans. Et grâce à lui, bien que beaucoup d’écoles soient fermées à cause des vacances du nouvel an, j’ai pu continuer mon observation avec probablement la seule école ouverte de toute la région, l’école internationale Amérasia de Qingdao. Il y travaille et il était très content de m’y accueillir. Ainsi même si ce n’est pas une école chinoise, j’ai eu le droit de découvrir la pédagogie IB, et la pédagogie Montessori, qui sont vraiment d’une grande richesse. J’ai eu aussi l’occasion de rencontrer des classes d’effectifs d’élèves compris entre 3 et 15. Après les classes de 50 en Chine et en Inde, c’est une belle opportunité de rencontrer l’inverse. Et en effet, ça fait réfléchir.

Enfin, en plus d’y rencontrer des professeurs très intéressants, des élèves très curieux, j’ai pu rester regarder leur spectacle du nouvel an chinois où ils étaient tous en habit traditionnel qui donnait une belle dimension de fête.

Avec ce couchsurfeur, j’ai pu aussi rencontrer plus vastement le sentiment d’intégration des étrangers dans cette grande ville. C’est vrai que, de plus que l’école accueille un petit effectif, on peut avoir l’impression qu’ils forment une petite communauté à l’écart de la société.

 

Finalement, mon tour des couchsurfeurs s’est finit avec l’impensable, une famille chinoise qui accepte que je passe avec eux le nouvel an chinois, (cette fête pourtant très familiale). En plus de découvrir leur habitude de vie, de partager avec eux un bon restaurant coréen, découvrir le petit chien Puppy qui faisait que de mordre mes chaussons, j’ai donc vécu ce nouvel an avec eux. D’abord, on a entendu pendant toute la journée des gros pétards et feux d’artifices encore plus que pendant le mois, parce que la tradition veut que plus tu en fais péter, plus tu seras chanceux. Ma balade de la journée, m’a dévoilé une ville déserte où tout est fermé, magasin, restaurant, taxi… tout le monde va retrouver sa famille. Le soir du réveillon, on est allé chez les grands-parents retrouver le reste de la famille. Un bon repas mais qui reste assez simple, on a attendu minuit devant le gala du nouvel an chinois, le spectacle le plus regardé au monde (tous les chinois le regardent et quelques autres pays aussi.)

Juste à 23h, j’ai eu la surprise de voir les grands parents faire à la main les raviolis traditionnels du Nouvel an, les « JiaoZi ». Le grand-père au rouleau sur la table basse du salon et la grand-mère qui les fourre un par un. 5 minutes à la vapeur et on se délecte de ces très frais JiaoZi, et quand tu veux avoir une année qui porte chance, tu essayes de tomber sur un avec une pièce de monnaie à l’intérieur (un peu comme la fève des rois !) Et donc pour mon dernier, je suis tombé dessus, la suite de mon voyage ne pourra que mieux se passer. On a attendu minuit, compte à rebours en direct à la télé, puis silence, la fin des feux à l’extérieur, le papi s’est levé et a éteint la télé. Mais personne ne s’est dit « bonne année », s’est embrassé ou pris dans les bras. C’est juste grosso modo, un « voilà » collectif. Un peu surprenant. Un choc de culture, que je ne comprends toujours pas. Mais chaque pays à ses petits mystères.

Vu que les écoles chinoises étaient en vacances et que je n’avais plus grand-chose à observer à Qingdao, j’ai décidé moi aussi de prendre des « vacances », (je n’en avais pas vraiment prévu pendant mon voyage) et d’aller visiter Pékin. Mais, je vous rassure tout de suite, je ne vous ai pas oubliés, en effet, chaque visite était un petit reportage pour vous. Donc même pendant mes vacances, j’ai continué mon projet et la découverte de la culture chinoise qui va avec le système éducatif. Pour cette partie, je pourrais vous en parler pendant des pages mais je vous invite à aller sur mon site y voir les photos qui parlent tout autant. Mais quand même, ces vacances m’ont permis de vraiment apprécié Pékin et la Chine, à sa juste valeur, comparé à mon premier jour où je l’ai trouvée tristounette. La Chine est riche de beaucoup de moments historiques, d’une vraie différence et beauté architecturale. Et tu n’as jamais fini de la visiter.

 

Voici, mon aventure en Chine, alors en plus de ces très belles rencontres de couchsurfeurs qui souvent sont arrivées fortuitement, j’ai eu la chance d’avoir des contacts super pour observer et rencontrer des écoles, en plus de l’école internationale. Grâce à un couple franco-japonais que j’ai rencontré en Finlande et qui avait travaillé à Qingdao, j’ai eu le contact de la responsable des relations entres écoles de la Région Bretagne et de la Province du Shandong (région de Qingdao à l’est et dessous de Pékin sur la côte). Grâce à ce contact, j’ai pu rencontrer l’école de ses enfants, une école privée où déjà beaucoup d’aspects transparaissaient. J’ai rencontré les professeurs, je les ai interviewés, j’ai rencontré une classe pour son dernier jour d’école avant les vacances. Ils ont fait, comme tous les jours, des exercices d’auto-massage de relaxation des yeux pendant dix minutes parce que les caractères chinois font trop travailler ces organes et les fatiguent beaucoup. Ainsi par ces petits exercices imposés, le gouvernement diminue le nombre de problèmes des yeux et de port des lunettes des enfants.  Comme c’était le dernier jour, ils ont fait une grande vente aux enchères (des jouets de chez eux) qu’ils s’achètent grâce aux points qu’ils ont récupérés pendant le semestre grâce à leur comportement, ces points deviennent des faux sous, j’ai aussi mangé avec eux, j’ai interviewé les enfants français, (ils m’ont dit qu’ils avaient jusqu’à 2-3 heures de devoirs en CM2 et qu’ils avaient besoin d’une tutrice tous les soirs comme beaucoup d’élèves dans ce pays pour garder le niveau) j’ai assisté à la remise de diplôme pour tous les enfants qui avaient eu 100/100, c’était long. J’ai aussi eu la chance de pouvoir manger avec la famille de ce contact, et comme ils étaient d’origine française, j’ai pu retrouver un bon repas français avec même des crêpes pour le jour de la chandeleur.

 

Toujours grâce au couple franco-japonais, j’ai eu la chance de pourvoir rentrer en contact avec un français qui enseigne ici, il m’a organisé une rencontre avec des professeurs chinois d’un collège, et ces personnes étaient très ouvertes, c’est là que j’ai appris que les enseignants n’ont que très peu de formation, juste un concours il y a vingt ans, 2 à 3 semaines de pédagogie actuellement, les professeurs se débrouillent. Le lendemain, il m’a organisé une rencontre et une visite avec une école publique (vide d’enfants puisqu’ils étaient en vacances mais la directrice était très contente de nous recevoir), c’est là que j’ai pu y voir l’investissement important fait par le gouvernement pour avoir de belles grandes écoles équipées : salle d’ordinateurs, vidéo projecteur dans toutes les salles de classes, terrain de sport et gymnase. Mais aussi, qu’ils mettaient un point important sur la moralité et les valeurs du pays avec une salle et des cours pour bien étudier le domaine.

Enfin, le surlendemain, j’ai pu encore interviewer des étudiants chinois. Ils parlaient un peu français, un peu anglais, et très bien chinois, on passait par plusieurs moyens pour qu’ils comprennent mes questions mais on a passé un très bon moment. Très ouverts, ils n’aimaient pas du tout le système d’université où tu dois passer le « gaokao », un concours d’entrée très dur qui est la raison de ton travail acharné depuis le collège et qui détermine ta vie puisqu’en fonction de ta note, il va t’orienter vers telle ou telle université sans même choisir le domaine d’étude (les meilleurs élèves vont dans les meilleures universités évidement). Et une fois dans une université, tu n’as même pas besoin de travailler, tu es presque sûr d’avoir ton diplôme.

Ce contact a vraiment été généreux jusqu’au bout, puisqu’il m’a même proposé qu’on se revoie pour visiter la ville ensemble suivi d’un repas chez lui. On a fait une marche et en 4 heures avec lui, j’ai plus visité (et apprécié) cette ville qu’en quinze jours de ma présence dans ces lieux. Et oui, la ville de Qingdao m’a révélé un certain charme.

 

Finalement toujours avec le même couple franco-japonais, j’ai pu rencontrer l’Alliance Française de Qingdao et en plus d’un partage très intéressant sur leur système de documentation pour mes différents articles, j’ai pu accompagner une des personnes y travaillant à son cours du samedi pour son fils de 13 mois, pour que, déjà il développe son agilité, son autonomie, son expression, sa coordination pour ne pas prendre de retard pour sa futur vie d’élève studieux qui l’attend. Un système de crèche privé qui marche très bien vu la sollicitation des parents qui montre bien jusqu’où va la pression sociale qui accompagne ce système.

 

Ainsi si je devais donner quelques points de ce système, après toutes les personnes que j’ai rencontrées avec qui j’en ai beaucoup discuté. D’abord et surtout, ils ont une attitude très positive des élèves vis à vis des études. Les enfants apprennent à travailler dur et à être réguliers dans l’effort. Comme me l’a dit une enfant que j’ai interviewée : « Ici, on a vraiment l’impression de travailler et d’apprendre des choses ! » Ainsi, la valeur du travail est très respectée. Ils ont aussi un fort respect envers les enseignants que les élèves appellent en disant « Professeur + son nom ». Les élèves se lèvent et les saluent au début et à la fin de chaque cours. Malgré qu’ils n’aient pas beaucoup de formation, la profession d’enseignant est hautement considérée par la population.
Enfin, il y a souvent une très bonne ambiance dans les classes et même avec les enseignants en dehors des cours (certains professeurs parlent de double facette : strict en cours pour réaliser le programme, cool en dehors.) Les élèves ont l’air unis et proches malgré l’esprit de compétition. Il y a une grande place et un investissement pour les arts et pour le sport (même si c’est très contrôlé et dirigé par l’enseignant, en plus des exercices physiques quotidiens.)

 

Mais le système chinois reste à mon goût trop porté sur le travail (avec les devoirs, une semaine de collège comptabilise 80h de travail) et du fait de la pression de l’examen final, de la politique de l’enfant unique qui fait que l’enfant se retrouve surveillé par ses deux parents et ses quatre grands-parents, ce système en oublie totalement l’épanouissement de l’enfant à partir du collège. On trouve des élèves exténués. Certains dorment en classe. Il reste un système dur où on en oublie la liberté et l’enfance des élèves. Ceci ajouté à une pédagogie de mémorisation plutôt que de réflexion, on peut résumer ce système à ce proverbe chinois : « Le bonheur issu du bonheur n’est pas le vrai bonheur, le bonheur né de la souffrance est le vrai bonheur ! » à méditer.

Mais je suis vraiment content d’avoir découvert leur système qui reste très intéressant pour comprendre beaucoup de choses sur ce peuple si différent, si nombreux et maintenant si important dans le monde.

On m’a invité à revenir visiter les écoles à une période plus propice, d’ailleurs, la directrice de l’école publique m’a nommé ambassadeur de l’invitation pour l’exposition internationale d’horticulture d’avril à septembre 2014 à Qingdao donc si vous êtes intéressé pour y faire un saut, je peux vous donner plus d’infos. Voilà qui est dit !

Sinon, la Chine restera toujours un pays aux mille et une richesses qui sera impossible de généraliser et d’en faire le tour, il y aura toujours quelques choses de magnifique à voir (paysage, village traditionnel, peuple ethnique, cuisine, culture, musique et cette diversité infinie.) J’aurai plaisir à y revenir.

Article-vidéos présents sur le site : visite de l’école publique, de l’école privée, spectacle de l’école, nouvel an et le KTV …

Articles : recette et cuisine chinoise, jeux chinois, musiques et chansons à apprendre, visites en photos de la Chine …

Allez à très bientôt pour la suite des aventures.

Nos rêves ont de l’avenir, vive l’école et vive la vie,

Amitié enveloppée de soie

 

Le fou-rêveur forever

Lancelot

 

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2 réponses à Résumé de la Chine

  1. Le Francais dit :

    haha!!! A lire ton article je passe un peu pour un frustre. Tant pis j’assume mon cote bien francais de raleur.

    Je vois aussi que tu aime bien les proverbe et citation alors j’ai celle la qui je pense caracterise bien ton desire de comprehension du monde qui s’oppose aussi a la pédagogie de mémorisation chinoise:
    « On ne connaît que les choses que l’on apprivoise …  »
    Tu devinera qui ;-)